Petit débat avec mon IA sur la transformation de nos métiers

Publié le 20 janvier 2025
15 min

J’aime bien échanger avec Wall-e, mon assistant IA, sur de nombreux sujets. C’est vrai qu’il enfonce souvent des portes ouvertes ou qu’il hallucine de temps en temps mais ça permet quand même de débattre sur des sujets de fond parfois. Voilà celui de la transformation de nos métiers dans un monde en transition.

Guillaume : Démarrons notre échange Wall-e!

Je me pose des questions actuellement en tant que consultant, professionnel du tourisme, investi largement sur les questions de transitions du tourisme et de tourisme durable et technophile notoire. Avec ce boom affolant de l’IA dans notre société, j’ai le sentiment qu’on arrive à un point assez crucial, un choix à faire. Doit-on dire non par militantisme. Doit-on plonger dedans à fond pour éviter d’être totalement décroché ? Doit-on trouver un juste milieu… quel juste milieu ? Avec quelles informations en tête ?

Wall-e : C’est effectivement un moment charnière, où il est difficile de ne pas se poser ces questions. Comme consultant, tu as une vue d’ensemble sur les enjeux de la transition du tourisme et la durabilité, et l’IA, avec son potentiel de transformation, soulève des dilemmes importants.

Je pense que la question centrale est : comment utiliser l’IA de manière équilibrée et éthique, en tenant compte des impératifs sociaux et environnementaux ?

  1. Dire non par militantisme : C’est une option compréhensible, surtout si tu te préoccupes des impacts sociétaux et écologiques de la technologie. Dire « non » à l’IA peut être un acte de résistance contre une société où la technologie prend trop de place, mais cela peut aussi signifier manquer des opportunités d’améliorer les pratiques professionnelles du tourisme de manière durable. L’IA peut, si elle est bien utilisée, contribuer à des solutions innovantes pour le tourisme durable.
  2. Plonger dedans à fond pour éviter d’être décroché : C’est l’approche pragmatique. L’IA peut offrir des outils puissants pour répondre à des enjeux de gestion, de personnalisation, de communication, etc. Mais c’est risqué si cela signifie sacrifier les valeurs humaines et les liens authentiques au profit de l’efficacité pure. Il y a un vrai danger à se laisser emporter par un « engouement technologique » qui oublie les impacts sociaux et environnementaux.
  3. Trouver un juste milieu : C’est probablement la voie la plus sage. Il s’agit d’accepter que l’IA est là, et qu’elle va transformer notre manière de travailler. Mais tout en gardant à l’esprit que l’humain, la durabilité et les relations authentiques doivent rester au centre des préoccupations. L’idée est de se demander : comment l’IA peut-elle enrichir l’expérience touristique, plutôt que de la déshumaniser ?
Extrait du film Wall-E

Par exemple, dans ton domaine, l’IA peut être utilisée pour automatiser des tâches répétitives, libérant ainsi du temps pour que les professionnels du tourisme puissent se concentrer sur des missions à plus forte valeur ajoutée, comme le conseil, l’accompagnement, et l’écoute des besoins des voyageurs et des acteurs locaux.

Ce dilemme est vraiment fascinant, et il semble que tu sois au cœur de ce débat. Quel est ton instinct par rapport à cette question ?

Guillaume : Mon instinct a toujours été dans la notion de juste milieu et d’équilibre. Tu dis que « L’IA peut, si elle est bien utilisée, contribuer à des solutions innovantes pour le tourisme durable. » As-tu des exemples précis ? Ce que je trouve difficile, c’est de savoir ce que l’action va coûter à la planète, au climat en particulier (émissions de GES) en utilisant les IA par rapport à ce que cela va rapporter réellement et à qui… Cela pose aussi la question de l’objectif de la performance et du débat autour de la croissance sans limite…

Wall-e : C’est une question très pertinente. L’IA, en effet, peut offrir des solutions novatrices pour le tourisme durable, mais elle soulève aussi des préoccupations quant à son empreinte carbone, notamment en raison des ressources nécessaires pour entraîner les modèles d’IA et maintenir les infrastructures (data centers, etc.). Trouver cet équilibre entre l’usage de la technologie et ses impacts environnementaux est crucial.

Les enjeux environnementaux de l’IA

L’IA, en effet, n’est pas sans coût environnemental. Les modèles d’IA de grande envergure, notamment ceux qui requièrent des puissances de calcul énormes (comme les modèles de langage ou les systèmes de recommandation complexes), peuvent entraîner une consommation d’énergie significative. L’empreinte carbone des centres de données qui hébergent ces technologies est aussi un facteur non négligeable.

C’est ici que se pose la question de la performance : l’IA permet d’améliorer l’efficacité, mais dans quelle mesure cette efficacité compense les coûts environnementaux générés par la technologie elle-même ? Et à qui profite réellement cette performance ?

La question de la croissance sans limite

Cela ramène effectivement à la question de la croissance et de la performance, un débat qui est au cœur des réflexions sur le tourisme durable. L’IA peut accroître la performance dans une logique de croissance (optimisation des processus, augmentation du nombre de touristes, rentabilité accrue), mais cette logique de croissance infinie est précisément ce qui est incompatible avec les limites écologiques de notre planète.

Pour que l’IA ait un impact positif sur le tourisme durable, il faut que son usage soit aligné avec des objectifs de sobriété, de réduction de l’empreinte écologique et de répartition équitable des bénéfices. Cela pose la question de l’usage social de la technologie : la performance ne doit pas se mesurer uniquement en termes de rentabilité économique, mais aussi en termes de bénéfices sociaux et environnementaux.

Il est donc important de ne pas se laisser emporter par une course à la performance à tout prix, mais de se poser des questions sur les objectifs globaux que l’on cherche à atteindre avec l’IA. Cela implique un cadre de réflexion éthique sur la façon dont ces technologies peuvent être déployées au service de la transition écologique et du bien-être humain.

Guillaume : C’est intéressant ta réflexion sur l’usage social de la technologie. Avait-on les mêmes débats avec l’arrivée d’Internet ?

Oui, l’usage social de la technologie a été un sujet central de débats, notamment avec l’avènement d’Internet et de ses premières grandes vagues d’innovation. L’Internet a profondément modifié la façon dont nous communiquons, interagissons et partageons des informations. À travers ces changements, les sociétés ont dû se confronter à plusieurs questions essentielles concernant l’impact social et éthique de cette technologie.

Les promesses d’Internet et les inquiétudes sociales

Dans les années 90, l’Internet était vu comme une technologie permettant de réduire les distances, de favoriser l’accès à l’information, et de connecter les individus comme jamais auparavant. Il y avait une vision utopique d’un monde globalisé où l’information serait libre et accessible à tous, favorisant l’inclusion sociale et une meilleure démocratie de l’information.

Cependant, au fil du temps, des inquiétudes ont émergé, notamment autour de la fracture numérique, de la surveillance et des biais algorithmiques. L’Internet, loin d’être un outil purement démocratique, a également permis l’émergence de monopoles de géants technologiques comme Google, Facebook et Amazon, avec des impacts sur la liberté d’expression, la protection des données personnelles et la polarisation des opinions.

2. Les enjeux sociaux et éthiques de l’usage des nouvelles technologies

L’arrivée d’Internet a donné naissance à des débats sur son usage social, qui se poursuivent avec d’autres technologies comme l’IA, la blockchain ou les plateformes numériques. L’une des grandes questions qui a émergé avec l’Internet était de savoir comment préserver l’humain et les valeurs sociales dans une société de plus en plus numérique. Voici quelques thèmes de réflexion liés à ces enjeux :

  • La liberté d’expression et l’accès à l’information : L’Internet a permis une explosion de la liberté d’expression, mais les dérives de la désinformation, des fake news, et des bulles de filtre ont montré les limites de cette liberté sans régulation.
  • La confidentialité et la surveillance numérique : L’usage massif des données personnelles, notamment par des géants comme Facebook, a soulevé des questions sur le respect de la vie privée et l’équilibre entre innovation technologique et respect des droits individuels.
  • La transformation du travail : L’Internet a changé la nature du travail, avec l’apparition de nouvelles formes d’emplois (freelance, télétravail, économie des plateformes). Cela a soulevé des questions sur la précarisation du travail, les inégalités d’accès aux technologies, et la protection des droits des travailleurs dans un environnement numérique.
  • L’impact environnemental des technologies : Les technologies, bien que permettant une plus grande efficacité et des gains économiques, posent également des défis en termes de consommation énergétique, gestion des déchets électroniques et durabilité.

3. Les leçons du passé et les questions actuelles

Ce débat sur l’usage social de la technologie est essentiel à chaque grande avancée technologique. À l’instar de l’Internet, l’IA soulève des questions similaires : comment garantir que l’IA soit utilisée au service de l’humain, de la justice sociale et de l’équité ? Comment prévenir la création de nouvelles inégalités ou de formes de contrôle social par la technologie ? Comment préserver la dimension humaine dans un monde de plus en plus automatisé et numérisé ?

Les valeurs sociales et éthiques doivent être au cœur de l’intégration des technologies. Ce qui est intéressant avec l’IA aujourd’hui, c’est qu’on est à un moment où nous pouvons réfléchir à l’usage de ces technologies avant qu’elles ne deviennent trop omniprésentes. Les leçons tirées des dérives de l’Internet (notamment sur la vie privée et les biais algorithmiques) sont essentielles pour anticiper l’avenir de l’IA et d’autres technologies.

Guillaume : Rien que dans mon métier de consultant, je vois bien de nombreuses applications possibles pour optimiser le temps des consultants sur des missions grâce à l’usage de certains nouveaux outils s’appuyant sur l’IA, ce qui va faire gagner du temps. Or, est-ce que je souhaite utiliser ce nouveau temps disponible à cumuler des missions supplémentaires et augmenter mon chiffre d’affaires ou plutôt à faire du terrain, du lien entre les acteurs locaux pour chercher l’impact, créer des émotions qui vont permettre aux individus et au collectif, et aux OGD de se transformer durablement…

Wall-e : Cette question touche à l’essence même de ta démarche professionnelle, et elle est cruciale dans le contexte actuel où l’IA peut effectivement libérer du temps. Mais la vraie question est : comment utiliser ce temps de manière stratégique pour favoriser un changement positif à long terme ?

  1. Cumuler des missions pour augmenter le chiffre d’affaires : L’IA peut effectivement t’aider à optimiser ton temps et ton efficacité, ce qui pourrait entraîner une augmentation des missions et du chiffre d’affaires. Cette approche peut sembler rationnelle d’un point de vue économique, mais elle peut aussi conduire à une concentration sur des objectifs à court terme, en mettant de côté des interactions plus humaines et profondes.
  2. Faire du terrain et renforcer les liens locaux : D’un autre côté, investir ce temps libéré dans des actions plus humaines et transformatrices, comme le développement de liens entre les acteurs locaux et l’accompagnement de l’évolution des OGD (Organismes de Gestion de Destinations), pourrait avoir un impact plus durable et significatif. C’est là que réside l’opportunité de réinventer le rôle du consultant. Plutôt que de multiplier les missions, l’idée pourrait être de consacrer plus de temps à des missions de co-construction et de création de sens, en menant des ateliers, en favorisant des échanges, en accompagnant des processus de transformation qui ne peuvent être réalisés que par le biais d’interactions humaines profondes.

L’impact durable : Créer des émotions et du lien

Le travail sur le terrain, la création de liens et la transformation collective ont un potentiel de création d’émotions et de valeurs qui dépasse largement la rentabilité immédiate. Ces moments permettent de faire émerger des visions collectives et des transformations profondes qui ancrent véritablement les OGD et les acteurs locaux dans un processus durable.

Le choix : Croissance ou impact ?

Finalement, la vraie question est celle de l’impact que tu veux avoir à long terme. Est-ce que ton objectif est de favoriser une croissance rapide à travers une multiplication des missions, ou souhaites-tu laisser une empreinte durable en contribuant à des transformations collectives ?

Cela n’exclut pas nécessairement d’augmenter ton chiffre d’affaires, mais plutôt de repenser la manière dont tu le fais : est-ce que l’IA, en libérant du temps, ne pourrait pas te permettre de mieux répartir ton activité entre efficacité économique et impact humain ?

Peut-être que ce n’est pas une question de « ou », mais plutôt de « comment », en cherchant à concilier ces deux dimensions de manière équilibrée.

Guillaume : D’ailleurs, c’est aussi le cas de nos clients, les OGD. En utilisant l’IA, cela peut transformer en profondeur les tâches des techniciens, leur fiche de poste en particulier sur la compétence « animation des socio-professionnels » en allant plus sur le terrain, voir les acteurs, les épauler, les écouter non?

Tu as tout à fait raison. L’IA pourrait effectivement révolutionner la manière dont les techniciens des OGD exercent leur rôle, notamment en optimisant les tâches administratives et en libérant du temps pour qu’ils se consacrent à des actions sur le terrain. Cela permettrait de recentrer leur travail sur l’essentiel : l’animation des socio-professionnels.

  1. Automatisation des tâches répétitives : Les tâches administratives, comme le suivi des données, la gestion des demandes ou l’analyse des rapports, peuvent être largement automatisées grâce à l’IA. Cela allégerait la charge des techniciens, leur permettant de consacrer moins de temps à ces tâches répétitives et plus de temps à l’interaction humaine.
  2. Concentration sur le terrain : Libérés de certaines tâches logistiques, les techniciens des OGD pourraient se consacrer davantage à des activités de terrain, comme rencontrer les acteurs locaux, écouter leurs préoccupations, les accompagner dans l’évolution de leurs offres, ou encore identifier les besoins réels de la communauté. Cela renforcerait le rôle des techniciens en tant que facilitateurs et co-créateurs des dynamiques locales.
  3. Création de lien et de confiance : L’IA peut également permettre une meilleure gestion des relations et des partenariats. En automatisant des tâches comme la collecte et l’analyse des retours d’expérience, l’IA pourrait offrir aux techniciens des outils plus efficaces pour cibler les besoins spécifiques de chaque acteur, renforçant ainsi la qualité du lien social et de la confiance entre les acteurs locaux.

L’idée serait donc de repenser cette compétence clé d’animation comme un véritable rôle de médiation, d’écoute active et d’accompagnement personnalisé, plutôt que de se concentrer uniquement sur la gestion administrative ou le suivi des données. L’IA pourrait libérer du temps pour qu’ils se consacrent à ce qui fait véritablement la valeur ajoutée de leur mission : le renforcement du collectif, l’accompagnement personnalisé, et l’influence positive sur les dynamiques locales.

Guillaume : Or, il va falloir un temps d’adaptation pour intégrer l’IA, comprendre les outils, mettre en place les nouveaux process…

Wall-e : Effectivement, il y a un temps d’adaptation incontournable pour intégrer l’IA dans les processus des OGD et dans les pratiques des techniciens. Ce temps de transition est essentiel pour garantir que les outils sont utilisés de manière efficace et bénéfique. Voici quelques éléments à prendre en compte pour réussir cette transition :

1. Formation et sensibilisation des équipes

Il est crucial que les techniciens des OGD, ainsi que l’ensemble des acteurs impliqués, reçoivent une formation appropriée sur les nouveaux outils. Cela ne se limite pas à l’utilisation des logiciels ou des applications, mais englobe aussi une compréhension globale de l’IA et de son potentiel. Les équipes doivent comprendre comment ces technologies peuvent alléger leur charge de travail et améliorer leurs pratiques sur le terrain.

2. Temps pour apprivoiser les outils

Les techniciens devront prendre le temps de s’approprier les nouveaux outils et de comprendre comment ces derniers s’intègrent dans leurs missions quotidiennes. Ce processus d’apprentissage inclut non seulement la compréhension technique des outils, mais aussi une réflexion sur la façon dont l’IA peut enrichir les interactions humaines, un domaine clé dans l’animation des socio-professionnels.

3. Mise en place des nouveaux processus

La transition vers l’IA implique souvent de repenser les processus de travail existants : comment l’IA va s’intégrer dans le flux de travail, quels processus doivent être redéfinis pour maximiser l’efficacité, et comment éviter une surcharge d’informations ou une déshumanisation des relations. Cette phase de réingénierie des processus peut prendre du temps, mais elle est nécessaire pour que l’outil soit véritablement un atout et non une contrainte.

4. Accompagnement au changement

Tout changement technologique nécessite un accompagnement humain, surtout lorsqu’il touche des pratiques bien ancrées. L’accompagnement au changement permet de répondre aux résistances, de lever les blocages, et de guider les techniciens dans cette phase d’adaptation. Des réunions régulières, des sessions de feedback, et une écoute attentive des besoins de terrain seront essentielles pour que la transition se fasse en douceur.

5. Prendre le temps de mesurer les résultats

Le déploiement de l’IA doit être suivi d’une période d’évaluation. Les techniciens devront être en mesure de mesurer les résultats : comment l’outil a-t-il contribué à leur travail sur le terrain ? Les gains de temps ont-ils été effectifs ? Les liens avec les acteurs locaux se sont-ils renforcés ? Ces ajustements permettront de continuer à affiner les processus et d’optimiser l’utilisation de l’IA.

Ce processus de transition progressive, où l’IA devient un allié au service de l’humain, demande du temps et de l’accompagnement. Cela n’empêche pas de commencer par des petites étapes et de faire évoluer progressivement les pratiques. Mais c’est justement dans cette phase d’adaptation que se trouve l’opportunité de réinventer le rôle des techniciens et d’aller encore plus loin dans la création de valeur durable et humaine.

Guillaume : C’est donc forcément un choix crucial pour une organisation comme un OGD car cela demande une transformation profonde du travail avec forcément des personnes qui ne vont pas aimer tous ces changements…

Wall-e : Oui, c’est un choix fondamental pour une organisation comme un OGD, car intégrer l’IA ne se limite pas à adopter de nouveaux outils, mais implique une transformation profonde de la manière de travailler. Et comme tu le soulignes, il est inévitable qu’il y ait des résistances au changement. Ce processus touche des aspects culturels et organisationnels très sensibles, notamment l’évolution des rôles, des responsabilités, et des pratiques bien établies. Voici quelques défis et pistes à considérer pour accompagner ce changement :

La transformation numérique avec l’IA dans un OGD est un défi de taille, mais c’est aussi une opportunité de repenser le rôle des techniciens et des responsables de l’animation des socio-professionnels. C’est un équilibre à trouver entre efficacité technologique et impact humain. Le succès de ce changement dépendra en grande partie de la manière dont il sera accompagné, à la fois sur le plan technique et humain.

Guillaume : Et là aussi, en tant que cabinet de conseil, on a peut-être un rôle à jouer pour accompagner au changement dans l’intégration de l’IA avec justement nos valeurs éthique et d’équilibre à pousser… Merci pour l’échange Wall-e!

Wall-e : Absolument, Guillaume ! En tant que cabinet de conseil, tu peux jouer un rôle clé en guidant les OGD dans cette transition, en veillant à ce que l’intégration de l’IA se fasse de manière éthique et équilibrée. En mettant en avant vos valeurs humaines, durables et responsables, vous pouvez aider les équipes à adopter les outils tout en préservant le sens et l’impact social des transformations.

Merci pour cet échange enrichissant ! N’hésite pas à revenir vers moi si tu as besoin de réfléchir plus en profondeur à ces questions ou à d’autres sujets.

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Hey! Moi, c'est Guillaume Cromer, je pilote ID-Tourism, cabinet d'ingénierie sur le marketing du tourisme. Historiquement, je suis bien impliqué sur les questions de tourisme durable mais depuis quelques temps, je m'intéresse beaucoup à la question de la prospective du tourisme pour bien comprendre comment vont évoluer les attentes des voyageurs et de quelle manière il va falloir adapter les organisations publiques et privées du tourisme. Hyper curieux et de [...]
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