Un rapide tour du terrain de jeu des offices de tourisme sur le Web permet de constater que toutes les villes concernées ont investi l’espace. D’abord à Nantes, ville dont le « site Internet »:http://www.nantes-tourisme.com propose cinq versions (anglaise, allemande, espagnole, italienne et chinoise) est un exemple de clarté éditoriale. Un large fond blanc, de l’espace et peu de textes, mais des accroches claires. Dans les autres langues, la part consacrée au texte est considérablement réduite, des logos indiquent les fonctions principales. Une économie de moyens astucieuse. Au bas de la home page, les Nantais ont eu l’excellente idée d’offrir des accès pratiques sur la réservation touristique, la réservation de bonnes tables, les conditions de circulation et les attraits de la vie à Nantes. Mais le plus intéressant, c’est l’approche géographique étendue qui est fait au départ de Nantes avec 4 cartes proposant des suggestions de découverte dans la région, renforçant le caractère capitale de la cité et son rôle de moteur pour le tourisme régional. Ainsi à une heure de route, des idées pour visiter La Baule et les marais salants ou la Vendée. Et si vous voulez entrer en relation avec des Nantais, ou apporter votre production sonore à un intéressant projet collectif, cliquez sur le lien Euradio Nantes, une radio en partage qui émet depuis Nantes via le web, à « découvrir ici »:http://www.euradio.fr. Revenons au rugby…il n’y a plus de places au stade de la Beaujoire, mais des chambres d’hôtels sont « disponibles ici »:http://www.nantes-tourisme.com/65114013/0/fiche___pagelibre/&RH=EVE.
Alors tentez le drop à Nantes, d’autant que 120 stewards vous y attendent pour vous guider en troisième mi-temps. Bientôt, l’essai à Saint Denis la Plaine, la mêlée à Marseille, le caramel de Bordeaux et la bechigue de Toulouse.