Passer de la reconnaissance vocale intelligente sur le fond à la transcription écrite automatique est une réalité. Je l’avais déjà testée avec Google docs dans ce précédent article du blog. Là, j’ai recouru à une appli. Ne vous étonnez pas des fautes mises en (gras) dans cet article que j’ai laissées pour apprécier les performances et les petites faiblesses de l’outil utilisé ! Cet article est composé de différents fragments écrit avec l’application dictation (Dictation, d’autres existent dont Dictacte de Microsoft). Seuls les liens et les photos seront directement enregistrés dans SMS (le CMS)du blog etourisme.info. L’outil est facile d’utilisation. Il permet d’exporter des contenus assez élaborés et sans problème particulier de grammaire et de conjugaison. On peut l’utiliser the man (?) quand on sort de réunion, ou comme pense-bête, et il ne faut pas oublier d’indiquer. (point) À (à) la fin de chaque phrase Points (.)
L’utilisation gratuite offre quelques crédits. À chaque pause conduisant à conduisant (répétition involontaire que l’on peut effacer sur l’écran) au (à) recours à une nouvelle fonction, des pubs surgissent Et (et) polluent le bon fonctionnement de l’app. Mais franchement on ne note pas de contrainte particulière mais au contraire une très bonne fidélité à l’expression et à sa traduction écrite automatique. Même si on construit, et c’est l’objet de la présente phrase en test, des phrases à tiroirs comprenant diverses idées et Des (des) digressions je, je suis bleu fait à la je suis bleu fait, (répétition laissée pour démontrer les hésitations à propos du mot bluffé)la d(là) dictation ne connaissais (t) pas spontanément l’expression bluffé il a hésité, je suis donc surpris par l’extrême efficacité de l’app que je vais utiliser régulièrement désormais.
Un vrai compagnon de travail
Au-delà du recours à dictation, je souhaitais vous parler de nos regards collectifs, nouveau (x), sur le voyage. Il me semble qu’après des décennies de décision sans partage , L (l)‘épisode récent du sur(-)tourisme, et les dernières initiatives nous alertant et nous faisant prendre conscience de l’impact écologique des transports , Qui (qui)concernentprioritairement nos sociétés européennes, Qui concerne prioritairement nos sociétés européennesous (à ce moment dictation se répète et c’est liée à la mise en mode en veille automatique de mon smartphone) nous devons désormais considérer que le tourisme et le secteur des voyages en reviennent à des modèles beaucoup plus raisonnée (és) comme chez les agriculteurs par exemple. À la société productivisme (tiste) du tourisme surgit un nouveau modèle de consommation touristique . Le local, leTendent (tend)à supplanter le national et l’international dans la consommation mais aussi on le voit apparaître dans l’organisation de la production et de la promotion notamment par le biais d’initiative (s)institutionnel (les)Point. Pour ma part je participe d’une génération profondément marquée par une sensible T’es (sensibilité) démocratique considérant que le tourisme (et) les voyages ont été et sont salutaires à la bonne marche pacifique des sociétés. Très proches de chez nous, l’Espagne et le Portugal longtemps dictature (s) ce (se) sont ouvertes à la démocratie aussi par l’entreprise (l’entremise) des rencontres touristiques. Et ça je ne peut(x) l’oublier.
Des émotions toquent à la porte lors d’un voyage
Ma génération A (a) eu tendance à croire que toutes les sociétés et les destinations naissent (naissaient) égal(es) endroit (en droit) et que leurs différences sont une richesse Et sa corde (et cela s’accorde)parfaitement avec les milliards de goût (s)personnel (s) qui composent notre communauté mondiale. Au regard du tourisme, Je (je) considère que les voyages et les rencontres qu’il génère sont constitués de visions brève(s), de fulgurances Ça (à supprimer) enthousiasmantes, d’instance (d’instants) inachevé(s). La beauté dans le voyage c’est que même quand il est terminé il ne se referme pas. Une image une rencontre, Une (une) émotion toquent toujours à la porte du voyageur qui sommeille en nous. Pour toutes ces raisons, je pense que nomade nous avons été, voyageurs nous restaurons (resterons), la fréquence, la durée, Et (et) la (le) pacte du voyage seront modifiés au regard de notre conscience écologique et de la transformation qu’elle suppose.
Blaise Cendrars le disais (t) dans bourlingué (Bourlinguer) « un des grands charmes de voyager ce n’est pas (tant) de temps de se déplacer dans l’espace que de se dépayser dans le temps« . J’adhère vraiment à cette description (oubli du point). Je pense que bien qu’il soit très pertinent de reconsidérer les marchés et les actions que l’on doit cibler en tant que représentant Dans (d’une)une organisation de gestion touristique ,il me semble que cependant on n’investit pas suffisamment d’attention de (au) voyage qui ne consiste pas seulement à vouloir faire venir des visiteurs et voyageurs de pays très lointain(s) mais à faire découvrir et partager son territoire, ses ressources, ses habitants, c’est (ces)curiosité (s) ces moments et lieux inattendus, ses aventures y compris loufoque, Voir désagréableVoir désagréable (voire désagréables). Et pour conclure cet article je cite John Steinbeck le remarquable écrivain américain qui dans les deux dernières lignes de son ouvrage (V)oyage avec Charlie (Charley) son chien à bord d’un camping-car au tournant des années 1950 1960 écrivisses (écrivit) aussi : « en commençant ce récit j’ai cherché (à) explorer la nature des voyages qui sont des êtres en soi tous différents les uns des autres. J’ai spéculer (é) avec une sorte d’étonnement sur la force de leur individualité et on (en ai) est conclu que les gens n’entreprenez (n’entreprenaient) pas des voyages mais que c’était ces derniers qui disposer(aient) des gens« .
J’adhère complètement à (c)es propos C’est la raison pour laquelle je pense que si le tourisme devient Heisei justice (alors là je ne sais pas que l’appli a compris et interprété 🙂 ) une activité plus raisonnée, le voyage doit s’affranchir de la raison, car c’est lui qui vous possède.
Cet article avait pour but de tester l’écriture automatique à partir de quelques pensées issues de lectures récentes sur le voyage. Je trouve l’expérience très concluante et facilitante pour la prise de notes, d’autant que l’on envoie et partage immédiatement le résultat par email, sms, sur les principaux réseaux sociaux. Et vous qu’en pensez-vous ? Et de la force initiale du voyage sur les personnes et les moments, il est autonome et peut nous lâcher en cours de route quand l’âme, le « duende » du flamenco n’est plus là. Steinbeck le dit très bien, le voyage est un être vivant (aussi je vous invite à mieux le valoriser dans vos communications : « Sans prévenir, sans adieu, sans va te faire voir ailleurs, mon voyage m’abandonna, le maissant en pleine détresse, loin de chez moi. J’essayai de le rappeler, de le rattraper…tentative folle et sans espoir : il était parti, fini à tout jamais ».
Envoyé de mon iPhone
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