Au fond un budget vacances c’est quoi ?
Un nouveau maillot de bain, de la petite monnaie pour les pizzas du midi et du soir et le café du matin, une chemise hawaïenne pour ne pas passer inaperçu en boîte, de la crème solaire (ou de l’huile autobronzante cette année) et… 90% de frais de transport et d’hébergement.
En faisant du stop et en dormant chez les cousins et copains, on peut limiter les frais. Oui mais… faire du stop sous la pluie c’est pas drôle, surtout si on décide d’aller à Stockholm. Et puis tout le monde n’a pas un réseau de copains qui s’étend de la terre de feu à la muraille de Chine et de New York à Kyoto.
C’est là qu’intervient le Web collaboratif, avec le concept de « couch surfing »:http://www.couchsurfing.com/, que Stéphanie avait repéré il y a quelques temps !
Le principe est simplissime : vous n’avez pas de copains à l’autre bout du Monde, mais vous avez forcément un canapé.
Mis à part le foot et la bière, quel rapport me direz-vous ?
Et bien, vous pouvez proposer, en ligne, votre canapé, pour un touriste de passage qui n’a pas les moyens de se payer un hôtel ou qui a juste envie de faire votre connaissance. La condition est que ce touriste puisse vous rendre la pareille, ce qui suppose qu’il se soit lui même inscrit avec son canapé.
Le tout est gratuit, doté d’une charte de bon comportement et compte prés de 300 000 adeptes.
Accessoirement, il est possible que le côté « club de rencontre » explique plus le phénomène que le souci d’économiser une chambre d’hôtel. Mais je dois avoir l’esprit mal tourné 😉
[…] je vais donc vous parler du volet hébergement. Je laisse de côté le Couchsurfing, que l'on a déjà évoqué, et qui bien que l'offre soit extrêmement développée en France (3ème pays au monde, vous pouvez […]
[…] n'est pas resté étranger à cette irruption de l'économie collaborative, avec la plateforme Couchsurfing.org ou BedyCasa. Mais le succès de AirBnB dépasse largement toutes les autres […]